Les Chroniques de Lucullus n°600
Amis gourmands bonjour,
Oeufs, pandémie et économie ne font pas bon ménage
Depuis le début d’année, la vente d’œufs bio a baissé de 3,1 % en volume ce qui a entraîné une baisse des prix qui fragilise la filière. C’est un coup dur pour elle, en plein développement, frappée de surproduction qui voit de nombreux producteurs en proie à de grandes difficultés financières.
En effet une baisse de 1 % à 2 % des ventes peut faire baisser les prix de 10 % à la production. selon le secrétaire général du Comité National pour la Promotion de l’Œuf (CNPO).
Même si les difficultés de la filière bio sont les plus criantes, c’est toute la production d’œufs en général qui est touchée par les conséquences de la pandémie. La crise a transformé les clients en pâtissiers et les français se sont rués vers les œufs. Les ventes ont progressé de 11 % en 2020 portant les prix à 9€ la centaine pour la production bio. L’engouement passé, les prix sont retombés à 6,5 € la centaine notamment avec la réouverture des restaurants et cantines. Même si durant l’été les prix sont passés à 7,5€ la centaine, le trop plein de production a provoqué une chute des prix à la vente. Afin de stimuler les ventes les grandes enseignes ont fait des promotions et les sociétés de conditionnement des œufs bio ou classiques ont diminué le cheptel bio en fournissant moins de poules et surtout ont anticipé la retraite de nombreuses poules pondeuses, rendant la situation des éleveurs plus délicate car s’ils ont moins de revenus, ils ont toujours autant de prêts d’investissement à rembourser.
Source : Le Monde / Laurence Girard (abonné)
L’élevage des lapins doit évoluer au même titre que celui des poules
Le constat est accablant. Les lapins sont considérés comme des animaux sociaux, vivant en groupes. Ils creusent des terriers pour élever leur progéniture. Ils aiment jouer et surtout ronger pour limer leurs dents. Mais 94 % des lapins d’élevage sont en cage. Cela représente 28 millions de lapins pour le seul territoire français.
Cet encagement provoque, comme pour les gallinacés, des troubles du comportement qui induisent des blessures parfois graves. Actuellement l’espace donné à un lapin a la taille d’une feuille de papier ordinaire (A4).
Les lapins sont abattus au bout de 70 jours après une mise bas de 9 à 11 lapereaux et en engraissement très rapide de 38 à 45 g/j. Le rythme d’insémination des lapines et lui aussi très rapide, 11 jours après une mise bas qui s’enchaîne en moyenne tous les 45 jours. Tout cela induit une mortalité élevée, environ 30 % des mères meurent chaque année.
Les causes de cette mortalité sont multiples. Comme dans tous les élevages intensifs, on retrouve les troubles digestifs dûs à l’engraissement rapide, mais aussi des troubles respiratoires liés aux bactéries et virus ou aux champignons présents dans les élevages. Pire, l élevage des lapins consomme 10,37 % des antibiotiques à usage vétérinaire utilisés en France alors même que 27 % des animaux meurent avant l’âge d’abattage.
Il existe bien une filière bio mais elle représente moins de 10 000 lapins /an et les lapins Label rouge moins de 1 % des ventes. La France est le 3ème producteur européen après l’Italie et l’Espagne. Avec la Chine ces 4 pays fournissent l’essentiel de la production mondiale.
Malheureusement, il n’existe aucune législation particulière en France. Il y a bien des discussions au niveau européen mais rien n’a encore été décidé. En attendant, la qualité de la viande proposée aux consommateurs reste piètre et les conditions d’élevage inadmissibles. De ce fait je ne manage qu’exceptionnellement du lapin.
Et pourtant, il y a de l’espoir car des producteurs ont décidé d’élever leur cheptel en prairie dans des parcs clôturés ou en bâtiments avec accès à l’extérieur. L’alimentation fournie est pour le plus grand part constituée d’herbe en pâturage avec en complément des céréales et du foin.
Source : CIWF
Des entreprises récompensées pour leur effort dans le bien être animal
Chaque année le CIWF décerne les Trophées Bien-Être Animal.
Ceux ci sont au nombre de quatre :
- Trophées du Marketing et de l'Innovation
- Trophée Planet Friendly
- Trophées par espèce
- Trophées Elevage et Alimentation Durables
Le 24 juin dernier s’est tenue la cérémonie de remise des prix. Cérémonie en distanciel du fait des normes sanitaires.
Comme le rappelle le CIWF, "Cet évènement a été l’occasion d’applaudir les entreprises ayant fourni des efforts particulièrement importants en vue d’améliorer le bien-être animal et la durabilité dans leurs chaînes d’approvisionnement"
Trophées du Marketing et de l'Innovation
Il récompense "les fermiers de Loué" pour leur campagne d’affichage "les Municipoules 2020" campagne humoristique sous format de campagne municipale dont le slogan était "Notre seule étiquette : le bien-être. Campagne qui a duré 8 jours, relayée par les médias qui a permis de sensibiliser les consommateurs sur le bien être animal tout en leur faisant savoir que les poulets des Fermiers de Loué ont tous reçu la meilleure note A.
Dans la catégorie innovation deux entreprises se sont vu décerner une Reconnaissance Spéciale.
Hilton Seafood UK, première entreprise à expérimenter et adopter un système d’étourdissement électrique pour les crevettes royales. Méthode plus respectueuse que l’immersion dans de la glace fondue. Cette amélioration mise en place dans la chaîne d’approvisionnement de Hilton/Tesco au Royaume-Uni profite à 100 millions de crevettes par an.
Danone, pour son outil digital d’évaluation du bien-être animal en élevage laitier, déployé au niveau mondial. Outil permettant aux éleveurs d’identifier et de mettre en œuvre des pistes d’améliorations des pratiques relatives au bien-être de leur troupeau. Fin 2020, le déploiement de l’outil en élevage concernait déjà plus de 750.000 animaux.
Trophée Planet Friendly
Ce trophée récompense les entreprises qui s’engagent à réduire la part de protéines animales dans leur approvisionnement.
C’est l’entreprise Barilla qui est récompensée avec une Reconnaissance Spéciale. En effet dès 2012 cette société s’est engagée à ne plus utiliser d’œufs de poules en cages. Petit à petit Barilla réduit la part d’œufs dans ses recettes, -8% depuis 2016 ce qui représente 350 000 poules en moins chaque année, et a permis de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 15%.
Trophées par espèce
Trois Trophées par espèce ont été décernés :
Une mention d’Honneur à "Lapin d’Or" du groupe LDC qui s’est engagé à développer une élevage en prairie et à le déployer dans tous les élevages produisant pour lui.
Un Œuf d'Or pour Galbusera en Italie et pour Happy Eggs en Chine.
Trophées Elevage et Alimentation Durables
Les Trophées Elevage et Alimentation Durables, récompensent les entreprises qui s'engagent à produire de la viande, des produits laitiers et des œufs de manière à protéger, améliorer et restaurer la biodiversité et l'environnement.
Cette année, ont été récompensés :
- Lynbreck Croft (R-U, catégorie éleveur)
- Hollis Mead Organic Dairy (R-U, catégorie éleveur)
- McDonald’s UK & Ireland ( R-U, catégorie entreprise), pour son projet de pâturage régénératif (ou « multi-paddock adaptatif ») pour les bovins allaitant au Royaume-Uni.
Source : CIWF
La fête du piment à Espelette
Cette fin de semaine du 23 au 24 octobre 2021 se tiendra, comme chaque année depuis 1968, à Espelette dans les Pyrénées Atlantiques la fête du piment
En 1968 le "Piment d’Espelette" ne concernait qu’une toute petite région autour du village éponyme. Depuis il est mondialement connu et la fête attire plus de 20 000 visiteurs.
Ce rendez-vous gourmand et festif a lieu chaque année le dernier week-end d'octobre. C’est l’occasion d’une bonne ballade pour les gens du sud-Ouest.
Label Zero résidu de pesticides
Après quatre années d’existence le Collectif Nouveaux Champs fait le point et note que la croissance est toujours au rendez-vous. Le marché des produits ainsi labellisés a progressé de 13 % au 1er semestre 2021 par rapport à l’année précédente et le nombre de références a augmenté de 30 %. Cela représente 200 références dont 180 en fruits et légumes frais commercialisés dans les grandes enseignes de distribution. Le label est également présent pour les fruits secs, les surgelés, les pâtes, les boissons et les vins. Le cap des 100 millions d’unités de vente commercialisées a été atteint.
Cette démarche d’ordre privé, ce n’est pas un label officiel, se veut une troisième voie entre le bio et le conventionnel. Ce collectif regroupe une soixantaine d’entreprises représentant plus de 6000 producteurs. Quatre nouveaux adhérents l’ont rejoint en 2021, la Cave du Marmandais (vins), les Vignerons de Puisseguin Lussac Saint-Emilion (vins), Epileg (fruits et légumes frais) et Terres du Sud (fruits et légumes transformés).
Le Collectif affirme que depuis deux ans, dans les rayons fruits et légumes frais, le label ZRP est celui qui attire le plus les jeunes : 46% des volumes sont générés par les moins de 50 ans, contre 34% au global sur le marché des fruits et légumes frais.
Une démarche en lien avec la HVE
La Haute Valeur Environnementale (HVE) est inscrite dans la démarche du collectif. Le 26 juillet 2021 le ministère de l’Agriculture en charge de la certification HVE a décerné à la ZRP le niveau 2. Désormais, tous les producteurs du collectif pourront prétendre au niveau 2 de la certification. En 2020 54 % des producteurs et entreprises étaient déjà certifiés HVE, niveau 3 de la certification environnementale.
Source : Plein Champ Adèle Magnard
Depuis le début d’année, la vente d’œufs bio a baissé de 3,1 % en volume ce qui a entraîné une baisse des prix qui fragilise la filière. C’est un coup dur pour elle, en plein développement, frappée de surproduction qui voit de nombreux producteurs en proie à de grandes difficultés financières.
En effet une baisse de 1 % à 2 % des ventes peut faire baisser les prix de 10 % à la production. selon le secrétaire général du Comité National pour la Promotion de l’Œuf (CNPO).
Même si les difficultés de la filière bio sont les plus criantes, c’est toute la production d’œufs en général qui est touchée par les conséquences de la pandémie. La crise a transformé les clients en pâtissiers et les français se sont rués vers les œufs. Les ventes ont progressé de 11 % en 2020 portant les prix à 9€ la centaine pour la production bio. L’engouement passé, les prix sont retombés à 6,5 € la centaine notamment avec la réouverture des restaurants et cantines. Même si durant l’été les prix sont passés à 7,5€ la centaine, le trop plein de production a provoqué une chute des prix à la vente. Afin de stimuler les ventes les grandes enseignes ont fait des promotions et les sociétés de conditionnement des œufs bio ou classiques ont diminué le cheptel bio en fournissant moins de poules et surtout ont anticipé la retraite de nombreuses poules pondeuses, rendant la situation des éleveurs plus délicate car s’ils ont moins de revenus, ils ont toujours autant de prêts d’investissement à rembourser.
Source : Le Monde / Laurence Girard (abonné)
L’élevage des lapins doit évoluer au même titre que celui des poules
Le constat est accablant. Les lapins sont considérés comme des animaux sociaux, vivant en groupes. Ils creusent des terriers pour élever leur progéniture. Ils aiment jouer et surtout ronger pour limer leurs dents. Mais 94 % des lapins d’élevage sont en cage. Cela représente 28 millions de lapins pour le seul territoire français.
Cet encagement provoque, comme pour les gallinacés, des troubles du comportement qui induisent des blessures parfois graves. Actuellement l’espace donné à un lapin a la taille d’une feuille de papier ordinaire (A4).
Les lapins sont abattus au bout de 70 jours après une mise bas de 9 à 11 lapereaux et en engraissement très rapide de 38 à 45 g/j. Le rythme d’insémination des lapines et lui aussi très rapide, 11 jours après une mise bas qui s’enchaîne en moyenne tous les 45 jours. Tout cela induit une mortalité élevée, environ 30 % des mères meurent chaque année.
Les causes de cette mortalité sont multiples. Comme dans tous les élevages intensifs, on retrouve les troubles digestifs dûs à l’engraissement rapide, mais aussi des troubles respiratoires liés aux bactéries et virus ou aux champignons présents dans les élevages. Pire, l élevage des lapins consomme 10,37 % des antibiotiques à usage vétérinaire utilisés en France alors même que 27 % des animaux meurent avant l’âge d’abattage.
Il existe bien une filière bio mais elle représente moins de 10 000 lapins /an et les lapins Label rouge moins de 1 % des ventes. La France est le 3ème producteur européen après l’Italie et l’Espagne. Avec la Chine ces 4 pays fournissent l’essentiel de la production mondiale.
Malheureusement, il n’existe aucune législation particulière en France. Il y a bien des discussions au niveau européen mais rien n’a encore été décidé. En attendant, la qualité de la viande proposée aux consommateurs reste piètre et les conditions d’élevage inadmissibles. De ce fait je ne manage qu’exceptionnellement du lapin.
Et pourtant, il y a de l’espoir car des producteurs ont décidé d’élever leur cheptel en prairie dans des parcs clôturés ou en bâtiments avec accès à l’extérieur. L’alimentation fournie est pour le plus grand part constituée d’herbe en pâturage avec en complément des céréales et du foin.
Source : CIWF
Des entreprises récompensées pour leur effort dans le bien être animal
Chaque année le CIWF décerne les Trophées Bien-Être Animal.
Ceux ci sont au nombre de quatre :
- Trophées du Marketing et de l'Innovation
- Trophée Planet Friendly
- Trophées par espèce
- Trophées Elevage et Alimentation Durables
Le 24 juin dernier s’est tenue la cérémonie de remise des prix. Cérémonie en distanciel du fait des normes sanitaires.
Comme le rappelle le CIWF, "Cet évènement a été l’occasion d’applaudir les entreprises ayant fourni des efforts particulièrement importants en vue d’améliorer le bien-être animal et la durabilité dans leurs chaînes d’approvisionnement"
Trophées du Marketing et de l'Innovation
Il récompense "les fermiers de Loué" pour leur campagne d’affichage "les Municipoules 2020" campagne humoristique sous format de campagne municipale dont le slogan était "Notre seule étiquette : le bien-être. Campagne qui a duré 8 jours, relayée par les médias qui a permis de sensibiliser les consommateurs sur le bien être animal tout en leur faisant savoir que les poulets des Fermiers de Loué ont tous reçu la meilleure note A.
Dans la catégorie innovation deux entreprises se sont vu décerner une Reconnaissance Spéciale.
Hilton Seafood UK, première entreprise à expérimenter et adopter un système d’étourdissement électrique pour les crevettes royales. Méthode plus respectueuse que l’immersion dans de la glace fondue. Cette amélioration mise en place dans la chaîne d’approvisionnement de Hilton/Tesco au Royaume-Uni profite à 100 millions de crevettes par an.
Danone, pour son outil digital d’évaluation du bien-être animal en élevage laitier, déployé au niveau mondial. Outil permettant aux éleveurs d’identifier et de mettre en œuvre des pistes d’améliorations des pratiques relatives au bien-être de leur troupeau. Fin 2020, le déploiement de l’outil en élevage concernait déjà plus de 750.000 animaux.
Trophée Planet Friendly
Ce trophée récompense les entreprises qui s’engagent à réduire la part de protéines animales dans leur approvisionnement.
C’est l’entreprise Barilla qui est récompensée avec une Reconnaissance Spéciale. En effet dès 2012 cette société s’est engagée à ne plus utiliser d’œufs de poules en cages. Petit à petit Barilla réduit la part d’œufs dans ses recettes, -8% depuis 2016 ce qui représente 350 000 poules en moins chaque année, et a permis de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 15%.
Trophées par espèce
Trois Trophées par espèce ont été décernés :
Une mention d’Honneur à "Lapin d’Or" du groupe LDC qui s’est engagé à développer une élevage en prairie et à le déployer dans tous les élevages produisant pour lui.
Un Œuf d'Or pour Galbusera en Italie et pour Happy Eggs en Chine.
Trophées Elevage et Alimentation Durables
Les Trophées Elevage et Alimentation Durables, récompensent les entreprises qui s'engagent à produire de la viande, des produits laitiers et des œufs de manière à protéger, améliorer et restaurer la biodiversité et l'environnement.
Cette année, ont été récompensés :
- Lynbreck Croft (R-U, catégorie éleveur)
- Hollis Mead Organic Dairy (R-U, catégorie éleveur)
- McDonald’s UK & Ireland ( R-U, catégorie entreprise), pour son projet de pâturage régénératif (ou « multi-paddock adaptatif ») pour les bovins allaitant au Royaume-Uni.
Source : CIWF
La fête du piment à Espelette
Cette fin de semaine du 23 au 24 octobre 2021 se tiendra, comme chaque année depuis 1968, à Espelette dans les Pyrénées Atlantiques la fête du piment
En 1968 le "Piment d’Espelette" ne concernait qu’une toute petite région autour du village éponyme. Depuis il est mondialement connu et la fête attire plus de 20 000 visiteurs.
Ce rendez-vous gourmand et festif a lieu chaque année le dernier week-end d'octobre. C’est l’occasion d’une bonne ballade pour les gens du sud-Ouest.
Label Zero résidu de pesticides
Après quatre années d’existence le Collectif Nouveaux Champs fait le point et note que la croissance est toujours au rendez-vous. Le marché des produits ainsi labellisés a progressé de 13 % au 1er semestre 2021 par rapport à l’année précédente et le nombre de références a augmenté de 30 %. Cela représente 200 références dont 180 en fruits et légumes frais commercialisés dans les grandes enseignes de distribution. Le label est également présent pour les fruits secs, les surgelés, les pâtes, les boissons et les vins. Le cap des 100 millions d’unités de vente commercialisées a été atteint.
Cette démarche d’ordre privé, ce n’est pas un label officiel, se veut une troisième voie entre le bio et le conventionnel. Ce collectif regroupe une soixantaine d’entreprises représentant plus de 6000 producteurs. Quatre nouveaux adhérents l’ont rejoint en 2021, la Cave du Marmandais (vins), les Vignerons de Puisseguin Lussac Saint-Emilion (vins), Epileg (fruits et légumes frais) et Terres du Sud (fruits et légumes transformés).
Le Collectif affirme que depuis deux ans, dans les rayons fruits et légumes frais, le label ZRP est celui qui attire le plus les jeunes : 46% des volumes sont générés par les moins de 50 ans, contre 34% au global sur le marché des fruits et légumes frais.
Une démarche en lien avec la HVE
La Haute Valeur Environnementale (HVE) est inscrite dans la démarche du collectif. Le 26 juillet 2021 le ministère de l’Agriculture en charge de la certification HVE a décerné à la ZRP le niveau 2. Désormais, tous les producteurs du collectif pourront prétendre au niveau 2 de la certification. En 2020 54 % des producteurs et entreprises étaient déjà certifiés HVE, niveau 3 de la certification environnementale.
Source : Plein Champ Adèle Magnard
Sur ces quelques mots je vous dis à bientôt
Gastronomiquement Votre, Lucullus
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