Les Chroniques de Lucullus n°545
Amis gourmands bonjour,
Résistance au pays du camembert
Deux fabricants de camemberts persistent et signent, le vrai camembert est un camembert au lait cru.
C'est encore est toujours la guerre entre le lait cru et le lait pasteurisé.
Evidemment, il est possible de faire un fromage de qualité au lait pasteurisé, mais comme le disent ces deux fabricants, Patrick et Francine Mercier, "Notre lait est une matière vivante ".
La ferme du Champ secret est à l'image de ses propriétaires. Ici les bêtes paissent toute l'année dans les pâturages à l'exception des mois froids. A l'abri dans la ferme, elles mangent le foin de l'année, cultivé sur place. Il n'y a plus d'ensilage depuis 2001. Ils sont les seuls à pouvoir afficher un camembert fermier et bio mais également une AOP.
Pourquoi tant d'application et de détermination dans leur travail ? La réponse est simple et s'impose à eux après l'épisode de la vache folle : Nourrir les gens n'est pas un geste anodin !
C'est en 2012 qu'ils sortent leurs premiers fromages bio. Les Mercier élèvent 90 vaches toutes normandes comme le veut l'AOP, sur 170 hectares. Ils produisent 700 camemberts par jour.
Source : Le Monde / Séastien Jenvrin
Les cantines de Montpellier suppriment le plastique
La mairie de Montpellier l'a décidé et l'a fait. Depuis lundi 11 février, il n'y a plus de barquettes en plastique dans les cantines. Elles sont remplacées par des barquettes biocompostables en cellulose végétale. Elles sont ensuite recyclées par l'usine Amethyst et transformées en compost ou en bio gaz pour le secteur agricole.
Ce ne sont pas moins de 900.000 barquettes par an qui seront ainsi recyclées.
C'est un enjeu de santé car les barquettes libèrent des composants néfastes à la santé lorsqu'on les chauffe, des perturbateurs endocriniens,comme les phtalates. Tout cela a un coût non négligeable de l'ordre de 60.000 euros par an mais, quand il s'agit de santé publique, on peut trouver l'argent nécessaire comme l'indique Marie-Hélène Santarelli, l’adjointe au maire en charge de l’alimentation durable.
Toutefois, les perturbateurs endocriniens dans l'alimentation sont un vrai souci comme le souligne Charles Sultan, professeur et endocrinologue pédiatrique au CHU de Montpellier, mais la barquette n'est qu'un élément dans le problème des perturbateurs endocriniens dans les cantines.
D'autres grandes villes se penchent ou se sont penchées sur la question.
Lille supprimera tous les plastiques d'ici 2020. Toulouse, les nouvelles barquettes en cellulose devraient arriver en mars. A Strasbourg, c'est depuis 2017 qu'il n'y a plus de contenants ni de couverts en plastique. Près de Bordeaux six communes du Médoc vont adopter les barquettes 100 % végétales dès la fin juin.
Pour Montpellier, le périmètre de la qualité des repas est plus vaste . En effet 30 % des aliments sont bio, locaux ou raisonnés.
Le pain 100 % Bio est fabriqué à base de farine cultivée localement et panifié au moulin de Sauret. La plupart des légumes comme les carottes, la salade, les choux rouges sont également bio. Les laitages le sont aussi tout autant que les pommes.
A défaut de bio, la mairie privilégie également les circuits courts. C'est le cas de la viande qui provient de l'Aubrac, le riz de Camargue, les tomates et les melons produits à Lattes non loin de la préfecture de l'Héraut.
La lutte contre le gaspillage est aussi une priorité. La mairie expérimente dans six restaurants scolaires de nouvelles procédures pour diminuer les gaspillages. Le poids des restes est passé depuis 2016 de 157 à 119 g par enfant. La baisse est de 24 %.
Les repas non consommés sont désormais offerts à des associations. Ce qui représente 15.000 repas par an. Le pain restant est revendu à des agriculteurs.
Source : Nicolas Bonzom / Maxele Presse pour 20 minutes, Nicolas Bonzom / Maxele Presse pour 20 minutes
Finie l'hécatombe de la pêche électrique !
La France va anticiper l'interdiction de la pêche électrique en haute mer. Avant même la date butoir du 1er juillet 2021, il ne sera plus possible de pêcher dans les eaux territoriales françaises au moyen d'appareillages électriques. Celles ci ont une largeur de 12 milles marins, soit 22,2 kilomètres.
La France a décidé de mettre en œuvre cette procédure dès la date de publication du règlement européen.
Les contradictions européennes ne permettaient plus de s'y retrouver. Normalement, ce type de pêche est interdit depuis 1998 mais un système dérogatoire exceptionnel le permet depuis 2006.
Cela fait trois ans que la bataille est engagée entre les tenants et les opposants à ces techniques. Les trois institutions européennes (la Commission, le Conseil et le Parlement) se sont enfin entendues.
"La date choisie doit garantir une période de retrait progressif pour permettre au secteur de s'adapter" explique le Karmenu Vella, commissaire européen en charge de la pêche.
Cette pêche consiste à envoyer des ondes électriques depuis des chaluts en direction du fond de la mer pour en récupérer les poissons vivants. C'est une pêche destructive pour les fonds marins. Toutefois les Pays bas sont de fervents partisans de ce type de pêche.
L'organisation des pêcheurs néerlandais VisNed a publié un communiqué expliquant la colère des pêcheurs de ce pays.
"Les mensonges et les émotions l'ont emporté sur la science aujourd'hui. Le Conseil européen, la Commission européenne et le Parlement européen se sont faits avoir par des campagnes mensongères, et basées sur l'émotion, de l'organisation environnementale française Bloom".
Pour autant la pêche électrique va t-elle disparaître complètement ?
La réponse est non !
Les Néerlandais pourront continuer à utiliser cette pêche dans leurs eaux territoriales. Chaque pays disposant actuellement de dérogations pourra continuer cette pêche dans la limite de 5 % de la flotte. Aucune nouvelle dérogation ne pourra être autorisée et toutes les dérogations à titre exceptionnel devront cesser.
Le Royaume Uni, sur le point de quitte l'UE, a annoncé fermer totalement ses eaux territoriales au reste de l'Europe.
Le texte négocié doit encore être validé par le Parlement réuni en séance plénière et par le Conseil des 28. La décision finale est prise à la majorité qualifiée. La date d'entrée en vigueur devrait se faire avant l'été 2019.
Source : Free/Actualité et le Figaro / Leonor Hubaut
Bières et Burgers artisanaux
C'est dans les Yvelines, à Maule, qu'Alexandre Bournonville va ouvrir un brew pub ou brasserie pub. Au menu, des burgers, plutôt haut de gamme et surtout la bière artisanale Distrikt créée il y a six ans par Alexandre.
Les bières sont brassées depuis cinq ans à la ferme de Grignon à Thierval, aussi bien la Mademoiselle Versailles (blonde légère) que la Funky IPA (fruitée) ou encore la Naive New Beer (blonde chaloupée), cette dernière étant le fruit de la collaboration avec le groupe électro-pop-rock Naive New Beaters.
Dorénavant, la bière sera brassée au pub à Maule, dans un ancien garage Renault. Le pub ouvrir mi-mars. Les joyeux brasseurs tablent sur une affluence de 50 couverts. Le style de l'établissement sera celui d'un pub afterwork et non pas un bar de nuit.
Source : Actu/Ile de France
Menace sur l'huile d'olive en Italie
C'est la catastrophe en Italie. La production a baissé de 57 % passant de 490.000 tonnes produites en 2017 à 185.000 tonnes en 2018. Entre les troubles que connaît le pays, des conditions météorologiques désastreuses pour la culture et la maladie provoquée par une bactérie, les producteurs ne s'en sortent plus et licencient. Le chiffre est astronomique. On parle de 100.000 licenciements.
L'huile d'olive italienne, mondialement renommée risque de connaître la pénurie.
Le changement climatique est une des raisons de cette pénurie annoncée. La région des Pouilles a connu des chutes de neige inédites entraînant une baisse de la production de 65 %. Les Pouilles assurent la moitié de la production nationale italienne. La cause est connue, une bactérie appelée Xylella décimant des dizaines de milliers d'oliviers.
Autre cause de déclin, la concurrence des pays méditerranéens comme la Tunisie, le Maroc ou l'Espagne. L'importation d'huile venant de Tunisie a grimpé de 150 % et la production espagnole représentant 9 fois la production italienne.
Le directeur de la Coldiretti (syndicat agricole), Ettore Prandini en appelle à une intervention structurelle pour sauver le patrimoine italien en matière d'olives de qualité. Le syndicat rappelle que l'Italie est leader mondial en matière d'huiles de qualité avec 533 variétés d'olives, plus que dans n'importe quel autre pays du monde.
Source : RTL
Alertes sur les pesticides
Une fois encore L'ANSES, l'autorité sanitaire française en charge de l'évaluation et de l'autorisation des pesticides, vient de rejeter l'alerte des chercheurs travaillant pourtant pour les laboratoires publics les plus réputés de l'Inserm, du CNRS et de l'INRA, concernant les effets des pesticides SDHI sur les abeilles, la santé humaine et l'ensemble de la biodiversité.
Il faut lire les bulletins de Pollinis ( https info.pollinis.org)
Je cite :
Il n'est plus tolérable que les autorités censées protéger les citoyens et l'intérêt général continuent à couvrir les pesticides chimiques sur la base de tests inadaptés réalisés par l'industrie elle-même...
L'article est très touffu et le site bien complet. Il faut les lire
Je mets donc ici les liens .
Source : Pollinis Nicolas Laarman , Bulletin hiver 2019
Deux fabricants de camemberts persistent et signent, le vrai camembert est un camembert au lait cru.
C'est encore est toujours la guerre entre le lait cru et le lait pasteurisé.
Evidemment, il est possible de faire un fromage de qualité au lait pasteurisé, mais comme le disent ces deux fabricants, Patrick et Francine Mercier, "Notre lait est une matière vivante ".
La ferme du Champ secret est à l'image de ses propriétaires. Ici les bêtes paissent toute l'année dans les pâturages à l'exception des mois froids. A l'abri dans la ferme, elles mangent le foin de l'année, cultivé sur place. Il n'y a plus d'ensilage depuis 2001. Ils sont les seuls à pouvoir afficher un camembert fermier et bio mais également une AOP.
Pourquoi tant d'application et de détermination dans leur travail ? La réponse est simple et s'impose à eux après l'épisode de la vache folle : Nourrir les gens n'est pas un geste anodin !
C'est en 2012 qu'ils sortent leurs premiers fromages bio. Les Mercier élèvent 90 vaches toutes normandes comme le veut l'AOP, sur 170 hectares. Ils produisent 700 camemberts par jour.
Source : Le Monde / Séastien Jenvrin
Les cantines de Montpellier suppriment le plastique
La mairie de Montpellier l'a décidé et l'a fait. Depuis lundi 11 février, il n'y a plus de barquettes en plastique dans les cantines. Elles sont remplacées par des barquettes biocompostables en cellulose végétale. Elles sont ensuite recyclées par l'usine Amethyst et transformées en compost ou en bio gaz pour le secteur agricole.
Ce ne sont pas moins de 900.000 barquettes par an qui seront ainsi recyclées.
C'est un enjeu de santé car les barquettes libèrent des composants néfastes à la santé lorsqu'on les chauffe, des perturbateurs endocriniens,comme les phtalates. Tout cela a un coût non négligeable de l'ordre de 60.000 euros par an mais, quand il s'agit de santé publique, on peut trouver l'argent nécessaire comme l'indique Marie-Hélène Santarelli, l’adjointe au maire en charge de l’alimentation durable.
Toutefois, les perturbateurs endocriniens dans l'alimentation sont un vrai souci comme le souligne Charles Sultan, professeur et endocrinologue pédiatrique au CHU de Montpellier, mais la barquette n'est qu'un élément dans le problème des perturbateurs endocriniens dans les cantines.
D'autres grandes villes se penchent ou se sont penchées sur la question.
Lille supprimera tous les plastiques d'ici 2020. Toulouse, les nouvelles barquettes en cellulose devraient arriver en mars. A Strasbourg, c'est depuis 2017 qu'il n'y a plus de contenants ni de couverts en plastique. Près de Bordeaux six communes du Médoc vont adopter les barquettes 100 % végétales dès la fin juin.
Pour Montpellier, le périmètre de la qualité des repas est plus vaste . En effet 30 % des aliments sont bio, locaux ou raisonnés.
Le pain 100 % Bio est fabriqué à base de farine cultivée localement et panifié au moulin de Sauret. La plupart des légumes comme les carottes, la salade, les choux rouges sont également bio. Les laitages le sont aussi tout autant que les pommes.
A défaut de bio, la mairie privilégie également les circuits courts. C'est le cas de la viande qui provient de l'Aubrac, le riz de Camargue, les tomates et les melons produits à Lattes non loin de la préfecture de l'Héraut.
La lutte contre le gaspillage est aussi une priorité. La mairie expérimente dans six restaurants scolaires de nouvelles procédures pour diminuer les gaspillages. Le poids des restes est passé depuis 2016 de 157 à 119 g par enfant. La baisse est de 24 %.
Les repas non consommés sont désormais offerts à des associations. Ce qui représente 15.000 repas par an. Le pain restant est revendu à des agriculteurs.
Source : Nicolas Bonzom / Maxele Presse pour 20 minutes, Nicolas Bonzom / Maxele Presse pour 20 minutes
Finie l'hécatombe de la pêche électrique !
La France va anticiper l'interdiction de la pêche électrique en haute mer. Avant même la date butoir du 1er juillet 2021, il ne sera plus possible de pêcher dans les eaux territoriales françaises au moyen d'appareillages électriques. Celles ci ont une largeur de 12 milles marins, soit 22,2 kilomètres.
La France a décidé de mettre en œuvre cette procédure dès la date de publication du règlement européen.
Les contradictions européennes ne permettaient plus de s'y retrouver. Normalement, ce type de pêche est interdit depuis 1998 mais un système dérogatoire exceptionnel le permet depuis 2006.
Cela fait trois ans que la bataille est engagée entre les tenants et les opposants à ces techniques. Les trois institutions européennes (la Commission, le Conseil et le Parlement) se sont enfin entendues.
"La date choisie doit garantir une période de retrait progressif pour permettre au secteur de s'adapter" explique le Karmenu Vella, commissaire européen en charge de la pêche.
Cette pêche consiste à envoyer des ondes électriques depuis des chaluts en direction du fond de la mer pour en récupérer les poissons vivants. C'est une pêche destructive pour les fonds marins. Toutefois les Pays bas sont de fervents partisans de ce type de pêche.
L'organisation des pêcheurs néerlandais VisNed a publié un communiqué expliquant la colère des pêcheurs de ce pays.
"Les mensonges et les émotions l'ont emporté sur la science aujourd'hui. Le Conseil européen, la Commission européenne et le Parlement européen se sont faits avoir par des campagnes mensongères, et basées sur l'émotion, de l'organisation environnementale française Bloom".
Pour autant la pêche électrique va t-elle disparaître complètement ?
La réponse est non !
Les Néerlandais pourront continuer à utiliser cette pêche dans leurs eaux territoriales. Chaque pays disposant actuellement de dérogations pourra continuer cette pêche dans la limite de 5 % de la flotte. Aucune nouvelle dérogation ne pourra être autorisée et toutes les dérogations à titre exceptionnel devront cesser.
Le Royaume Uni, sur le point de quitte l'UE, a annoncé fermer totalement ses eaux territoriales au reste de l'Europe.
Le texte négocié doit encore être validé par le Parlement réuni en séance plénière et par le Conseil des 28. La décision finale est prise à la majorité qualifiée. La date d'entrée en vigueur devrait se faire avant l'été 2019.
Source : Free/Actualité et le Figaro / Leonor Hubaut
Bières et Burgers artisanaux
C'est dans les Yvelines, à Maule, qu'Alexandre Bournonville va ouvrir un brew pub ou brasserie pub. Au menu, des burgers, plutôt haut de gamme et surtout la bière artisanale Distrikt créée il y a six ans par Alexandre.
Les bières sont brassées depuis cinq ans à la ferme de Grignon à Thierval, aussi bien la Mademoiselle Versailles (blonde légère) que la Funky IPA (fruitée) ou encore la Naive New Beer (blonde chaloupée), cette dernière étant le fruit de la collaboration avec le groupe électro-pop-rock Naive New Beaters.
Dorénavant, la bière sera brassée au pub à Maule, dans un ancien garage Renault. Le pub ouvrir mi-mars. Les joyeux brasseurs tablent sur une affluence de 50 couverts. Le style de l'établissement sera celui d'un pub afterwork et non pas un bar de nuit.
Source : Actu/Ile de France
Menace sur l'huile d'olive en Italie
C'est la catastrophe en Italie. La production a baissé de 57 % passant de 490.000 tonnes produites en 2017 à 185.000 tonnes en 2018. Entre les troubles que connaît le pays, des conditions météorologiques désastreuses pour la culture et la maladie provoquée par une bactérie, les producteurs ne s'en sortent plus et licencient. Le chiffre est astronomique. On parle de 100.000 licenciements.
L'huile d'olive italienne, mondialement renommée risque de connaître la pénurie.
Le changement climatique est une des raisons de cette pénurie annoncée. La région des Pouilles a connu des chutes de neige inédites entraînant une baisse de la production de 65 %. Les Pouilles assurent la moitié de la production nationale italienne. La cause est connue, une bactérie appelée Xylella décimant des dizaines de milliers d'oliviers.
Autre cause de déclin, la concurrence des pays méditerranéens comme la Tunisie, le Maroc ou l'Espagne. L'importation d'huile venant de Tunisie a grimpé de 150 % et la production espagnole représentant 9 fois la production italienne.
Le directeur de la Coldiretti (syndicat agricole), Ettore Prandini en appelle à une intervention structurelle pour sauver le patrimoine italien en matière d'olives de qualité. Le syndicat rappelle que l'Italie est leader mondial en matière d'huiles de qualité avec 533 variétés d'olives, plus que dans n'importe quel autre pays du monde.
Source : RTL
Alertes sur les pesticides
Une fois encore L'ANSES, l'autorité sanitaire française en charge de l'évaluation et de l'autorisation des pesticides, vient de rejeter l'alerte des chercheurs travaillant pourtant pour les laboratoires publics les plus réputés de l'Inserm, du CNRS et de l'INRA, concernant les effets des pesticides SDHI sur les abeilles, la santé humaine et l'ensemble de la biodiversité.
Il faut lire les bulletins de Pollinis ( https info.pollinis.org)
Je cite :
Il n'est plus tolérable que les autorités censées protéger les citoyens et l'intérêt général continuent à couvrir les pesticides chimiques sur la base de tests inadaptés réalisés par l'industrie elle-même...
L'article est très touffu et le site bien complet. Il faut les lire
Je mets donc ici les liens .
Source : Pollinis Nicolas Laarman , Bulletin hiver 2019
Sur ces quelques mots je vous dis à bientôt.
Gastronomiquement Votre, Lucullus
Gastronomiquement Votre, Lucullus
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